Le monde des voitures électriques commence à faire de grande évolution. Dans cette expansion, chaque marque essaie de se faire une place sur le marché, la course est lancée, et la ligne d’arrivée pour gagner en notoriété se trouve être la date de 2035. Une date qui est annoncée comme la fin des voitures thermique. À l’heure actuelle, la marque Polestar rencontre des problèmes dans cette quête, et surtout en France.

Une histoire de logo

Si les électriques de la marque sont de plus en plus performantes, elles ne sont pas pour autant disponibles en France. La source du problème viendrait de leur logo. En effet, le leur, bien qu’il fasse partie du groupe Geely, grande marque chinoise, et se trouve être parrainé par Volvo, utilise des chevrons comme celui de la marque français : Citroën. C’est une histoire pas comme les autres. Certes, la marque Polestar utilise des chevrons, mais ils sont disposés d’une manière différente de celle que la marque française utilise. Pour avoir plus d’informations, passez sur le site Voiture Verte.

Pour être plus précise, la marque Polestar, à l’instar de sa dénomination, voulait reproduire l’étoile Polaire. Pour ce faire, ils ont mis les pointes des chevrons en contact de manière à former une étoile. C’est là que Citroën entre en jeu en disant que les branches de cette étoile ressemblent fortement aux chevrons qu’ils utilisent. Mais, ici, ce n’est pas encore le fait qui marque plus la marque de chez PSA. Avec l’indépendance du modèle DS qui devient une marque, ils estiment que le logo de Polestar se rapproche trop de ce dernier.

L’historique du conflit

Étant en 2022, la marque Polestar n’a pas encore obtenu son absolution. Mais que s’est-il passé du côté législatif ? L’histoire commence en 2019. C’est en cette année que la marque française commence à faire appel aux voies légales pour faire entrave à la marque Polestar. Un an après cette première action, le tribunal français rend un verdict. Le verdict statue en faveur de Citroën en disant que la marque suédoise porte atteinte à la renommée de cette dernière.

Cette décision de justice s’accompagne d’une amende de 150 000 euros. Par ailleurs, la marque a aussi été sommée d’arrêter d’utiliser le logo sur une durée de 6 mois. Mais il est à noter que la justice française ne l’oblige pas à changer de logo. Tout cet historique rend une vision claire de passé, mais garde le futur de la marque dans l’hexagone encore dans un flou total. Pour les années à venir, la marque continuera d’aller se frotter à tesla, mais pas sur le sol français, tout du moins jusqu’à nouvel ordre.

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